✩Belle citation pour toi ✿

samedi 9 juillet 2011

Sommes-nous tous esclaves de nos pulsion et passions? (partie 3)

...  Nos langues continuent à s'enrouler... je sentais une chaleur monter en moi, oui, cette chaleur de l’excitation. Sa main, continuait de me caresser le galbe des seins.... je me laissais faire, c'était plaisant, presque parfait.
Ses lèvres embrassent mon cou, pour ensuite, se diriger vers mes lèvres, avec laquelle il prenait du plaisir à mordiller sensuelment...
Il ne promenait que ses lèvres, mains aussi ses douces mains... comme si mon corps lui appartenait.
Je vous rappelle que je n'avez plus de soutien gorge, juste ma petite culotte rose et le polo blanc qu'il m'avait prêté. Qu'en passant, s’enroulait de plus en plus vers ma jolie poitrine révélant mon ventre et mes côtés et un peu de mes seins.
Je caressais sa tête, ses cheveux, ses bras musclés. Pendant qu'on s'embrassait fougueusement, il me chevauche, en premier de côté et ensuite, j'écarte les jambes et il vient se positionner sûr moi.


Il soulevé alors le polo pour découvrir mes seins. Je le regarde, il me regarde dans les yeux. Ce ne fut que des petits secondes, mais je les garderais toujours dans ma mémoire.
Il prends mes seins, les embrasse, le prends à pleine bouche, les lèche, comme pour les déguster et m'éparpille ses bisous un peu partout sûr la poitrine.
J'enleve le polo avec son aide, on se regarde droit dans les yeux, et je lâche des soupirs de plaisir... j'étais complètement emportée par ses instants. Je ne pouvais penser à autre chose que sa langue autour de mes mamelons, attrapant mes seins fermement, les caressants, les honorant avec ses baisés, pour ensuite descendre progressivement de plus en plus bas...

Il s’écarte un peu et pose une de ses mains sûr ma cuise, puis fais des bas et viens lascifs.
Dans ma tête, je me disais qu'il valait mieux de le stopper, avant qu'on aille à un point de non-retour., mais c'était impossible; j'étais esclave de mes propres pulsions.Je me laissait faire comme si je n'étais plus moi.
Me sentir convoité de la sorte par un mec qui s'y prenait comme il fallait me faisais mouiller, m'excitais et me donnais envie d'aller encore plus loin.
J'avais encore ma petite culotte sexy sûr moi et ce cher Hugo, ne savais toujours pas que je n'avais jamais vraiment fait l'amour avec un homme.

J’angoissais.
Je ne savais pas quoi faire pour stopper ce qui se passait à ces instants, j'étais confuse, j'étais de plus en plus folle des préliminaires qu'ils m'offrait.

Il continue ses bas et viens sûr mes deux jambes, en me faisant des bisous sûr mes cuisses.
Il dirige ensuite ses mains sûr mes anches, pour pouvoir retirer ma petite culotte.

Je refuse. Il essaye de me forcer en un peu, ne comprenant pas pourquoi je ne veux pas, en pensant que je fais ma difficile. Mais je prends un air sérieux et lui dis : «Arrête non, pas ça. »

Surpris et contrarié et il me dis : «Pourquoi, qu'est ce qui a ? »

Je ne pouvais lui dire, je ne me sentais pas du tout à l'aise de lui balancer ça comme ça, en plein milieu de préliminaires, que personne ne m'avais jamais encore prise intimement.
Je fus lâche et je finis par lui dire qu'il vaut mieux qu'on s'arrête là, sans lui donner une explication concrète.

Il se couche à côté de moi, pour reprendre son souffle, et me regarde dans les yeux, me caresse les cheveux, l'épaule, le bras.
Je le regarde et je souris gentiment, il s’approche de moi et m'embrasse sûr les lèvres. 
Je correspond à ses baisés.
Excité, il se lance une fois de plus à la recherche de mes seins.
Il les caresse, il s'en lasse pas.

C'est alors, qu'il osa glisser une de ses mains dans la petite culotte... pour caresser ma petite chatte d'amour.
Je ne ferme même pas les jambes pour l'en empêcher. Au contraire, je les écarte d'avantage.
C'était si bon ... j'aimais sentir sa douce main me frôler, me chatouiller doucement. Se faisant un chemin pour chercher mes lèvres intimes.
Il sens que je suis toute mouillée et il ne peut s’empêcher de me murmurer  : « Hummmm Andréa, comme tu es bonne. »
Cette phrase qui voulais dire combien il me trouvait délicieuse me faisais un effet fou, me poussant même à chercher son sexe à mon tour.

Je le caresse à présent par dessus son boxer. Son sexe était tout dur. Ma main était à la fois curieuse et timide. J'aimais sentir son désir se durcir de plus en plus.

J’enlève ma main et le laisse continuer à me caresser ma chatte, sans aucune inhibition.
Je sentais des moments de grand plaisir, une certain abandon. Ça me faisait du bien.
Il me caressait comme il fallait, ni trop fort, ni trop doucement. J'étais surprise, mais je pense que son expérience y était pour quelque chose ( Hugo à 28 ans).

Il introduis un de ses doigts dans ma petite chatte d'amour trempée et ouh la la, j'étais complément excitée.
Il faisait des bas et viens avec son doigt et qui me faisaient doucement gémir de plaisir.

J'avais envie qu'il me prenne. Qu'il me fasse l'amour vraiment. Je nous voyais déjà dans l'acte.
J'étais à la fois impatiente, nerveuse, conquise... cependant, pas sûre de ce que je m’apprêtais à faire.

Je savais que je n'allais pas aller au bout avec un gars de qui je ne suis pas amoureuse.
Je ne voulais pas que ça se passe comme ça. Pas ma première fois avec lui.
Il m'as fallu beaucoup de volonté, mais je me suis ressaisie .

J'ai pris sa main pour l'enlever ma petite chatte, et je lui dis qu'il vaudrait mieux qu'on arrête et qu'on dorme; que je suis fatiguée et que demain je dois me réveiller tôt car j'ai des cours. De plus, je ne dois pas manquer parce qu'il y a des examens importants qui s'en viennent.
Et puis lui il travaille, alors ... faut qu'on dorme.

Il fais la gueule, et revendique, mais il m’écoute finalement (et heureusement) et il finit par se coucher à côté de moi.
Je me retourne de dos à lui, il me fais un bisou sûr le cou, me serre dans ses bras et on essaie de s'endormir, un peu épuisés :-)

 

Je me réveille quelques heures après, dérangée par la sonnerie de mon blackberry; qui m'indique qu'il est l'heure de partir.
Il se réveille aussi, me demande l'heure, me regarde, me souris. Je souris aussi, un peu gênée et je lui dis de me filer une serviette pour pouvoir prendre une douche.
Il va en chercher une, me la tend, je l'enroule autour de moi et prends une douche chez lui avant de pouvoir quitter son appartement.

Déjà à la porte, une fois prête pour partir, il s'approche de moi pour me donner un baisé sûr les lèvres et moi, je tends la joue.

Il me regarde d'un air sérieux et me dit : « Ah OK, tu veux pas que je t'embrasse maintenant?! »
Je lui dit : « Non, ce qui s'est passée hier, ne voulais pas dire ... enfin, ne le prends pas mal, mais tu sais que je ne veux pas m'engager avec personne en ce moment, je ne me sens pas prête. »
Il me dit : '' D'accord Andréa, je comprends. ''

Je lui fais encore la bise et je pars.

Je prends le métro, vers chez moi, pour pouvoir mettre d'autres vêtements, finir de me faire belle, prendre mes livres le plus vite possible et me rendre aux cours.

J'arrive en retard, mais le pire dans tout ça, ce que je ne pouvais presque plus me concentrer, puisque je me remémorais les instants que j'avais passé avec Hugo, la veille.

Quatre jours sont passés depuis cette nuit. J'ose toujours pas revoir Hugo malgré ses appels téléphoniques, messages textes, messages facebook, etc.
J'ai peur d'y céder la prochaine fois.

1 commentaire:

Victor Vilain a dit…

Cèdera ... Cèdera pas ... ???